Eh bien merci à tous pour vos commentaires.
Je ne suis pas certain d’être un artiste comme le dit Jean-Jacques, mais j’essaye de réaliser une belle piste, c’est vrai, et j’accorde de l’importance au décor, tout en souhaitant maintenir un roulage performant (hors de question de devoir ralentir par peur d’endommager le décor, par exemple).
Comme dit Pascal, cela avance, et je ne suis pas loin de pouvoir passer à la finition de la zone monégasque.
J’ai pu encore progresser dans la peinture et remonter l’entièreté de la piste pour refaire quelques essais et vérifier que tout s’assemble bien et que le courant passe bien. Ce ne fut pas inutile car le placement de la paroi de protection le long de la piste dans le tunnel contraignait un peu trop la piste et posait des problèmes de raccord. C’est à présent réparé, j’ai reculé cette paroi d’un petit centimètre.
Ceci me permet de vous proposer une autre salve de photos:
1) une vue un peu plus aérienne que d’habitude grâce à un tabouret:

2) une photo prise un peu plus bas, presque au niveau de la piste:

3) l’épingle monégasque:

J’ai le projet de peindre des bandes blanches à certains endroits le long de la piste. Ce sera encore un fameux passe-temps, mais je crois que cela apportera une touche de réalisme et de finition appréciable.
Et puis j’ai placé un dernier cadre au-dessus de ce virage de façon à compléter la série de mes voitures préférées des 20 dernières années.

On y retrouve tout d’abord en bas la F1 de Schumacher victorieuse à Spa en 2002. Je fréquentais encore les GP de F1 à Francorchamps à ce moment-là, et je me souviens en particulier des longues séances d’essais libres les vendredis, très peu fréquentées et pourtant très intéressantes. Je me plaçais derrière la grille, très près de la piste, et on pouvait voir à l’œil nu la différence que faisait un gars comme Schumacher à la sortie du virage de Pouhon, notamment.
Deuxième phase avec les Ferrari 575 GTC des 24 Heures de Spa en livrées 2004 et 2005 (je me souviens avoir passé pas mal de temps dans le stand GPC entre les séances d’essais libres en 2005, entre autres). Ces voitures n’ont pas un palmarès extraordinaire, mais je les trouvais magnifiques. Un peu comme les F40 LM, en quelque sorte.
Et puis nous arrivons à la période des Audi R18. Les deux photos montrent une voiture pilotée par « les trois frères » (Fassler - Lotterer - Tréluyer), en 2011 d’abord (piètre prestation à Spa mais victoire inoubliable au Mans) et puis en 2016, avant de refermer le chapitre de la présence d’Audi en LMP1.
Il ne me reste plus de place pour mettre d’autres cadres, mais peut-être la course automobile est-elle arrivée elle aussi à un tournant?