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Les Aventures du Capitaine Fracass, nouvelle saison.
Date du message : samedi 18 février 2023 à 14h24
Et l'aventure continue, belle mise en scène, où tout va pour le mieux, mais attendons la suite.
Je crois que le temps va changer. Il ne manque qu'un fond musical pour donner du relief à cet excellent récit
Ronnie31
Lord of the ring
Date du message : dimanche 19 février 2023 à 12h37
Merci Captain pour ces récits toujours aussi haletants et bien écrits
Message modifié le lundi 20 février 2023 à 12h09 par Ronnie31
Date du message : lundi 20 février 2023 à 11h50
Le Depart
Enfin le jour du départ est arrivé. Pour un marin c'est toujours avec impatience qu'il attend le moment de reprendre la mer et je n'échappe pas à cette habitude. Mais je ne suis à bord que depuis une dizaine de jours et c'est très peu pour se familiariser avec un yacht de cette taille. Disons qu'un mois eut été plus approprié. Je suis donc dans l'obligation de faire confiance à mon prédécesseur pour avoir mis le navire en ordre de naviguer et mon chef mécanicien pour m'en révéler tous les secrets.
Marc, le précédent capitaine me semble un garçon fiable. Lors de la passation de pouvoir, nous avions échangés le temps d'une demi-journée et il m'avait semblé très proche de ma façon de travailler. Quand à Joël, il s'était fort bien vendu lors de notre premier entretien.
Pourtant quelques détails auraient pu me mettre la puce à l'oreille. Les cartes de navigations n'étaient pas à jour et aucun exercice incendie n'avait été pratiquer avant moi, ce qui aurait du me faire douter du travail de préparation de mon prédécesseur. Pour ce qui est du chef mécanicien, j'avais été surpris par une explication qu'il m'avait donné sur le fonctionnement des pompes d'assèchement du navire.
Sur un yacht de trente mètres le plus souvent, il y a plusieurs moyens d'évacuer de l'eau qui ferait irruption dans la salle des machines. Tout d'abord il y a une ou deux pompes de relevage automatiques.
Ce sont des petites pompes actionnées par un flotteur. Lorsque le niveau de l'eau dans le fond de cale soulève le flotteur, la pompe se déclenche et assèche la cale, tout en envoyant un signal lumineux à la timonerie. Rien d'inquiétant, l'origine de cette eau peut avoir des causes variées, une légère fuite au presse-étoupe (le joint d'étanchéité de la sortie de l'arbre d'hélice), la condensation de la climatisation, un écoulement des eaux de pluies ou autres.
Ce sont de petits débits sans grande importance. Si d'aventure une entré d'eau plus sérieuse venait à se produire, nous ferions alors appel à une pompe d'asséchement électrique beaucoup plus puissante, avec un débit plus conséquent et si cette dernière ne suffisait pas nous aurions alors une moto pompe diésel, portable ou pas selon le choix des équipements du bord.
Dans le cas de Jason, Cet équipement avait été remplacé par un attelage raccordé au moteur de propulsion principale. Joël m'avait expliqué qu'une fuite entre cette pompe et le moteur, avait occasionné une entrée d'eau de mer dans le moteur.
C'est, vous l'aurez deviné un traumatisme majeur pour n'importe quel moteur. Mais dans notre cas, le moteur en question est un MTU 16 cylindres de 63.385 centimètres cubes, produisant 2800 cv et pesant 5 Tonnes. Pas vraiment le genre de moteur que l'on démonte en quelques heures. Mais Joël, aidé d'un ami mécanicien, était parvenu à rincer totalement le moteur, le vider de toute son eau et ainsi le sauver.
Toutefois il existe un dernier dispositif pour assécher la cale en cas de dernière urgence qui consiste à aspirer l'eau de la cale par le système de refroidissement primaire du moteur. C'est un peu technique, je vais donc éviter de vous perdre avec des détails ; toujours est-il que lorsque j'ai parlé de ce système à Joël, il en ignorait jusqu'à l'existence, ce qui n'a pas manqué de me surprendre, d'autant que le Jason en était équipé.
Nos invités sont tous à bord, leurs valises dans leurs cabines respectives. Il y a quatre couples, mon Armateur et sa nouvelle compagne, son meilleur ami et homme de confiance accompagné de sa bienaimée et un couple proche de la nouvelle fiancée de notre boss. La quatrième cabine est occupée par un couple d'amis de M. Kersen et sa défunte épouse.
Ce sont, je l'ai déjà dit, des gens charmants et bienveillants. Ils se sont tous regroupés à l'arrière du Jason, pour voir les préparatifs de départ et le moment fatidique où nous allons larguer les amarres.
...
Message modifié le lundi 20 février 2023 à 11h53 par CaptFracass
Date du message : lundi 20 février 2023 à 11h51
...
Pour ma part, je suis sur le pont supérieur au poste de commandement extérieur. Je ne vois personne, juste les autres yachts autour de moi et le chenal à la proue de mon navire dans lequel je vais devoir manœuvrer. J'ai, comme à chaque fois que je prends les commandes d'un nouveau yacht, une légère appréhension, ne sachant pas comment il va réagir, s'il dérive beaucoup ou pas au vent, s'il est bien manœuvrant ou plutôt pataud.
Marc l'ancien capitaine m'a prévenu ; « Attention lorsque tu mets en avant, il fait un bond et avance très vite ».
Je fais les premiers essais de commandes. Comme pour un avion avant le décollage, on teste toues les commandes d'un navire avant de larguer. Barre à fond à gauche, l'aiguille de l'indicateur s'incline lentement sur la gauche. Barre à fond à droite, tout va bien. Propulseur d'étrave à gauche ; dans un rugissement le propulseur d'étrave éjecte de l'eau l'avant droit du yacht le poussant vers la gauche. Je répète l'opération à droite et tout se passe bien. Moteur gauche en avant. Je pousse d'un cran la manette des gaz du moteur gauche et sans attendre sa réaction deux seconde après, je ramène la manette au point mort. Rien ne se passe. Je recommence en attendant cette fois, trois secondes et là le Jason fait un bond en avant. Bien maintenant je connais l'inertie et le couple produit par mes hélices.
Le temps de réaction est normal, c'est une sécurité qui protège la boite de vitesse, des effets d'un capitaine trop virulent lors des manœuvre, qui passerait d'avant en arrière sans marquer un temps de pose.
Je teste la marche arrière. Je suis content d'avoir de grosses amarres sur l'avant ; le couple des hélices est phénoménal effectivement. En dernier je répète le teste sur le moteur tribord, puis prenant le VHF j'ordonne ; « Larguez derrière » Louise et Eva donnent du mou dans les lignes et font signe aux servants du quai, qui décroche les amarres des bites et les jettent à bord. Sitôt le navire, libéré de son étreinte avec le quai, glisse vers l'avant. J'ordonne ; « Joël tu peux lâcher tribord ». Le navire prend un peu d'angle vers sa gauche, ce qui va me simplifier la manœuvre dans le chenal.
« Tu peux lâcher tribord ». Joël jette un œil par-dessus bord et me fait signe ; les amarres ont coulé, elles ne se prendrons pas dans les hélices. Je mets en avant trois secondes. Je dois fractionner mes impulsions sur les commandes moteurs afin d'éviter de prendre trop de vitesse.
Le yacht glisse vers les navires à quai de l'autre côté du chenal. Ce dernier fait aux plus quarante mètres de large, me laissant une marge de 5m devant et derrière pour manœuvrer. Je ne vois pas vers l'arrière de mon navire. Donc je demande à Louise de m'indiquer quand mon arrière aura dépassé les amarres du yacht sur mon tribord. Il faut bien comprendre que les amarres* plongent dans l'eau cinq mètres devant le navire qu'elles tiennent en place, ce qui me laisse plus que cinq mètres pour manœuvrer.
En clair, lorsque j'envoie mon moteur bâbord en marche arrière pour faire pivoter mon vaisseau sur la gauche, le voilier à quai devant moi à disparu sous l'étrave du Jason.
Joël me signale à la radio « Un mètres » c'est tout ce qu'il reste entre moi et ce voilier. Mon navire tourne, j'envoie tribord en avant pour accélérer le mouvement. Le vent souffle à dix nœuds (18km/h) et je me rends compte que mon navire dérive plutôt vite, vers le quais que je viens de quitter. Tous les yacht qui y sont encore parqués, pointent vers mon flans leurs proues agressives. Il est temps que je me sorte de là.
Après avoir parcourus cinquante mètres, je répète l'opération en sens inverse pour faire virer le Jason de 90° sur tribord, face à la sortie du port et surtout face au vent, une position bien plus confortable. En chenalant, je veille à ne par couper l'un des corps-morts des vedettes et voiliers, qui longent mon passage.
J'ordonne relevez les défenses, ces espèces de ballons longilignes qui pendent le long de la coque et font office de parechocs que les plaisanciers nomment à tort, les pare battages. La tradition veut qu'elles soient remontées à bord, lorsque l'on passe les jetées (entrées du port).
Je vire une dernière fois vers le large, mets le navire sur pilote auto, remercie mon équipage par la VHF et descend à la timonerie remplir mon journal de bord. Mon baptême du feu c'est bien passé, je vais pouvoir souffler un peu.
*Dans la profession, les amarres avant sont appelées les corps-morts. En référence aux blocs de bétons auxquels elles sont rattachées.
Dans le prochain épisode ; L'arrivée à San Rémo.
Message modifié le lundi 20 février 2023 à 11h56 par CaptFracass
Date du message : lundi 20 février 2023 à 14h49
Bonjour et merci pour ces nouvelles aventures
Samedi, nous sommes allés diner sur la seine en bateau mouche et nous avons eu la chance de croiser le bateau " Capitaine Fracasse"
Jchri
Lord of the ring
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Date du message : lundi 20 février 2023 à 15h08
Hello Captaine,
heureux de te croiser sur ce bateau et suivre cette nouvelle histoire. Je ne suis pas marin et pas trop le pied marin non plus, mais j'apprécie les vieux gréement et surtout les Uboot.
Le récit est charmant et agréable à suivre... mais contrairement à tes autres récits, cela manque un peu d'illustration à mon gout... un peu d'odeur de mazout et de vision à perte de vue, les remous d'une hélice ou la solitude d'une cabine...
je ne veux pas brouillé le récit, mais je me permets cette question qui ne demande pas forcément de réponse, pourquoi un nouveau pseudo? par jeu?
Message modifié le lundi 20 février 2023 à 16h37 par Jchri
Date du message : lundi 20 février 2023 à 16h08
Mon cher Juanose, nul besoin de te le préciser, je ne suis pas un marin d'eau douce, donc promis il n'y a aucun lien entre ce bateau que tu as croisé sur la Seine et moi. Mais je suis heureux que tu ais pensé à moi pendant ta balade fluviale.
Mon cher Jchri, j'ai bien sûr pris des photos lors de cette mission estivale, le tout c'est de savoir où je les ai stockées. je ferai des recherches ces jours-ci.
Date du message : lundi 20 février 2023 à 18h06
Nous sommes entrés dans le vif du sujet. Après l'introduction et la présentation des personnages et du décor, l'aventure commence.je sens déjà l'air iodee remplir mes poumons.
Merci capitaine
Alain Craniotakis
Sloteur de l'extrême!
Date du message : lundi 20 février 2023 à 19h35
Ric a écrit :Nous sommes entrés dans le vif du sujet. Après l'introduction et la présentation des personnages et du décor, l'aventure commence.je sens déjà l'air iodee remplir mes poumons.
Merci capitaine
Tout le plaisir est pour moi.
Biohazardnico1
Bargeots
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Date du message : lundi 20 février 2023 à 20h17
Toujours un plaisir de lire ces belles aventures Marine
LittleBen
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Date du message : lundi 20 février 2023 à 22h28
Merci capitaine F., et vivement la suite
LittleBen
penn_ar_slot
Sloteur Fou
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Date du message : lundi 20 février 2023 à 23h02
Moins de 40 nautiques à parcourir, mais que va-t-il se passer ?
Vous le saurez peut-être demain si le captain Fracass ne s'est pas endormi à la barre.
Date du message : jeudi 23 février 2023 à 13h11
Première Navigation
Enfin ! Enfin la mer devant moi et tout autour, ou presque. Je longe la côte française, la baie des Anges. Un petit clapot de 0.5m, une brise légère, un soleil éclatant, toutes les conditions sont réunies pour faire de cette première navigation une partie de plaisir. Si, selon l'image d'Epinal que le commun des mortel se fait de mon métier, ce que je suis en train de vivre représente 99% de la tâche d'un capitaine de yacht, il est temps de vous révéler qu'il n'en est rien. Ces petits moments récréatifs, qui sont la motivation première de notre choix de carrière, ne représentent qu'une infime partie de notre travail. En fait, le plus souvent, entre 5 et 10% des tâches qui nous incombent, et celle-ci est de loin la plus reposante. Le reste du temps, nous gérons les problèmes techniques, qui surgissent à tout instant et le plus souvent au mauvais moment, les problèmes humains de l'équipage, les caprices des invités et de l'armateur, les problèmes administratifs et douaniers, la comptabilité et bien sûr l'encadrement de nos équipiers.
De plus, en grande partie, les yachts naviguent peu, leur fonction étant le plus fréquemment de transporter des millionnaires d'un port LVMH, vers un autre port LVMH, pour que les épouses puissent se ruer dans les boutiques ; Cartier, Louis Vuitton, Gucci, Dior etc dépenser l'argent de leur époux pour les punir de leur faire subir le supplice de vivre à bord !
Mais la majeure partie du temps un Yacht est à quai, pour que le petit peuple puisse admirer ce temple dédié à la fortune de l'armateur. ou devant le port à l'ancre, quand le yacht est trop grand pour entrer dans le port ou que le propriétaire est trop pingre pour payer les frais de port.
Puisque je parle de ça, je pourrai m'attarder sur le cas de St Tropez, où une journée à quai pour un 30m coûte 2400€, auquel il faut ajouter la location de la prise de quai 200€, le pourboire obligatoire des agents de quais 300€, Les consommations d'électricité et d'eau autour des 300€ et les honoraires du plongeur qui vient vous aider à remonter votre ancre (un cas unique en Méditerranée) 400€.
Oui, vous avez bien compté, 3600€ la journée à quai. A ça, il faut ajouter que tous les jours on vous fout dehors à onze heures du mat et que pour re rentrer dans le port il va falloir faire la queue derrière les yachts plus grands et ça peut prendre des heures.
Mais là, pour l'instant, toutes ces futilités, tous ces problèmes, tout ce stress se sont envolé, je suis en mer au commande de Jason, là où j'ai vraiment l'impression d'exister.
A douze nœuds, il nous faudra presque quatre heures pour rejoindre San Remo en Italie. Mes invités son en train de prendre leur déjeuner sur le Fly bridge (pont soleil) à quelques mètres derrière moi. Ca fait maintenant près d'une heure que je subis la BO du film les Charriots de Feu de Papatanassiou Vangelis qui tourne en boucle sur le HP du bord. Un supplice.
A la proue, Joël les yeux rivés sur l'horizon vit à sa manière ce moment de communion avec la mer. Eva et Louise se démènent pour faire profiter à nos invités d'un repas frugal dans ce décors de rêve. Tout va bien.
J'appelle Joël sur la VHF, il faut qu'il aille inspecter la salle des machines, pour s'assurer que tout va bien la dessous aussi. Puis je fais le point sur la carte.
Nous arrivons en milieu d'après midi devant la Marina de San Rémo, Je lance un appel radio pour demander l'autorisation d'entrer dans le port et réclamer le service d'un "follow me" pour m'amener à la place qui m'est réservée.
Quelques minutes plus tard un Zodiac avec trois personnes à bord, un pilote, un chef de port et une jolie hôtesse italienne viennent se ranger près de moi pour me saluer.
Puis il me font signe de les suivre. Arriver devant ma place, mon Boss vient me voir à la passerelle pour me demander : "Ils veulent nous amarrer là ?"
Je réponds que oui, mais M. Kersen ne l'entend pas de cette façon.
"C'est trop loin des commerces il y a au moins un kilomètre de quai à parcourir pour sortir de la marina, mes invités sont des personnes âgées.
Il a raison. Je prends le VHF pour expliquer le problème avec la capitainerie, située dans une tour de control à l 'entrée de la Marina.
Les Italiens sont le plus souvent réactifs et coopératifs, en deux minutes on m'attribue une autre place nettement plus confortable.
Le chef de port du Zodiac me fait signe de le suivre. Oui mais pour ça je dois faire faire à mon yacht une demi tout sur place entre deux rangées de yachts amarrés à quai.
J'enclenche le moteur bâbord en arrière et le tribord en avant, le Jason doucement commence à pivoter sur son axe. je corrige un peu ; l'hélice tribord en marche avant à plus de d'effet que son équivalent bâbord en marche arrière. Donc l'espace de quelques secondes, je mets tribord au neutre. pour laisser à bâbord le temps de rattraper le retard.
Mais lorsque je remets tribord en avant, une alarme se déclenche me criant à tûtête que quelque chose ne va pas ! ...
Message modifié le samedi 4 mars 2023 à 17h59 par CaptFracass
Date du message : jeudi 23 février 2023 à 16h10
aaarrrrgggggghhhhhh vite la suite
C2R17
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DrA
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Date du message : samedi 25 février 2023 à 17h41
Alain Craniotakis a écrit :C2R17 a écrit :C'est du vécu, pas de doute à avoir.
Mouais, si ça ce trouve, j'dis ça, j'dis rien, mais, j'ai envie de dire qu'au jour d'aujourd'hui, c'est peut-être, genre, un fake...
Ça me rappelle le film "Envoyés très spéciaux" avec son remake "Special Correspondents".
Date du message : samedi 25 février 2023 à 18h25
Attention tout aller pour le mieux dans le meilleur des mondes (au milieu de la méditerranée), quelques petits tracas journaliers (vérifier que tout se passe bien) pour le bateau, l'équipage, le boss et ses invités, que de boulot mon capitaine. Et là, suspense une alarme qui retentit.....
Fin de l'épisode.....
Va falloir patienter
Toujours tenir son public en haleine
Date du message : samedi 25 février 2023 à 19h30
DrA a écrit :Alain Craniotakis a écrit :C2R17 a écrit :C'est du vécu, pas de doute à avoir.
Mouais, si ça ce trouve, j'dis ça, j'dis rien, mais, j'ai envie de dire qu'au jour d'aujourd'hui, c'est peut-être, genre, un fake...
Ça me rappelle le film "Envoyés très spéciaux" avec son remake "Special Correspondents".
Saches que ce que tu lis-là c'est un extrait de mes moires, que je produirai sous forme de livre une fois à la retraite. Si j'attends la retraite, c'est que ce genre de révélation sur ce monde très secret peut me couter le reste de ma carrière et j'ai encore besoin de travailler.
Tous ce qui est décrit ici et du vécu, sinon ça n'aurai aucun intérêt, je ne suis pas romancier. Et des fois que tu ai des doutes, j'ai les copies de mes livres de bord pour prouver mes dires. un jours ils seront peut être une assurance.
Après libre à toi de croire que dans ce monde ou tout n'est que mensonges, ce récit est un fake de plus. Mais pourquoi donc je perdrais mon temps à raconter de fariboles.
Extrait de la page droite du livre de bord du Jason, tu ne verras pas la page la gauche qui révèle le vrai nom du yacht, de la même façon que j'ai masqué ma signature. Pour finir, ce n'est pas la page concernant l'arrivée à San Remo, parce que les noms des passagers y figurent avec d'autres détails qui m'auraient obligé à masquer la plus grande partie de la page, pour les raison que je préciserai dans le prochain paragraphe. Peut être cela te suffira t-il. Où pas.